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Juice a imagé la comète interstellaire 3I/ATLAS : aperçus après le périhélie, queues et chevelure et arrivée des données scientifiques début 2026

La mission Juice de l'ESA a observé en novembre 2025 la comète interstellaire 3I/ATLAS, avec les premières confirmations NavCam de la chevelure et des queues et une série de mesures des instruments JANUS, MAJIS, UVS, SWI et PEP. Le passage le plus proche a eu lieu le 4 novembre (~65 millions de km), et les paquets scientifiques complets sont attendus en février 2026. Les observations suivent les détections martiennes d'octobre.

Juice a imagé la comète interstellaire 3I/ATLAS : aperçus après le périhélie, queues et chevelure et arrivée des données scientifiques début 2026
Photo by: Domagoj Skledar - illustration/ arhiva (vlastita)

La sonde Juice de l'ESA a profité en novembre 2025 d'une géométrie rare pour observer la comète interstellaire 3I/ATLAS (C/2025 N1) dans une phase d'activité renforcée après son passage au périhélie. Bien que la mission soit principalement dédiée à Jupiter et à ses lunes glacées, l'équipe scientifique a ouvert des fenêtres d'observation ciblées avec cinq instruments — JANUS, MAJIS, UVS, SWI et PEP — afin de capturer les traces chimiques, dynamiques et particulaires que la comète révèle durant la période de comportement « chevelure et queue » le plus vif. Cette opportunité extraordinaire s'est présentée peu après que 3I/ATLAS se soit approchée au plus près du Soleil fin octobre, et c'est précisément la période où les jets de gaz et de poussière deviennent les plus prononcés.


Qu'est-ce que 3I/ATLAS et pourquoi est-elle importante ?


3I/ATLAS n'est que le troisième objet interstellaire confirmé à être entré dans notre Système solaire, après 1I/ʻOumuamua (2017) et 2I/Borisov (2019). Contrairement à ʻOumuamua, qui était sans queue classique et avec une signature photométrique très inhabituelle, 3I/ATLAS se comporte comme une comète active « régulière » avec une chevelure et des queues clairement visibles. Il s'agit d'un corps naturel sur une trajectoire hyperbolique, dont la composition et le comportement portent des informations sur la chimie et la thermophysique de systèmes planétaires lointains. C'est précisément pourquoi la communauté internationale — des observatoires terrestres aux orbiteurs spatiaux — suit de manière coordonnée ce passage à travers le Système solaire interne, consciente que de telles occasions sont extrêmement rares.


Novembre 2025 : la première fenêtre pour Juice


Dans la première moitié de novembre 2025, Juice a commencé les observations de 3I/ATLAS avec plusieurs capteurs. Dès le 2 novembre 2025, des observations initiales ont été effectuées, et le 4 novembre a eu lieu l'approche la plus favorable du point de vue de la sonde — environ 65 millions de kilomètres de la comète (les estimations de différentes éphémérides rassemblées dans les rapports médiatiques et d'agences oscillent autour de 64–66 millions de km). Ce moment est survenu immédiatement après le périhélie, lorsque la comète était dans son état le plus actif. Sur l'image de la Navigation Camera (NavCam) — une caméra d'ingénierie destinée au guidage et non à la photographie scientifique — la comète est, d'après ce qui a pu être téléchargé préliminairement depuis la sonde, clairement visible comme une source condensée entourée d'un halo diffus, avec des indices d'une queue de plasma (gaz ionisés « tirés » par le vent solaire) et d'une possible queue de poussière plus faible formée de particules microscopiques sortant du noyau.


NavCam n'est pas un instrument scientifique haute résolution calibré ; son rôle est principalement la navigation autonome lors des futurs survols des lunes de Jupiter. Néanmoins, de tels « clichés d'essai » sont précieux pour vérifier la géométrie et l'éclairage de la scène et pour une évaluation rapide de la mesure dans laquelle les queues et la chevelure sont prononcées au moment de l'observation. De plus, elle est accompagnée de mesures détaillées de JANUS (optique haute résolution), MAJIS et UVS (spectroscopie de l'ultraviolet à l'infrarouge), SWI (« reniflage » submillimétrique de molécules et températures des gaz) ainsi que PEP (particules et plasma). Cette combinaison permet la corrélation de l'apparence (photométrie et morphologie) avec la composition (lignes de H2O, CO2, CO, fragments de OH, etc.) et l'environnement (vent solaire, ions, électrons), ce qui est crucial pour comprendre les mécanismes qui « propulsent » la comète après le périhélie.


Pourquoi les données n'arrivent-elles qu'en février 2026 ?


Juice est configurée dans cette phase de croisière de sorte que son antenne principale à gain élevé (HGA) serve de bouclier contre la chaleur solaire. À cause de cela, la communication est majoritairement basculée sur l'antenne medium-gain, ce qui réduit drastiquement le débit de données. Par conséquent, la majorité des paquets scientifiques des observations de 3I/ATLAS est prévue pour être livrée sur Terre seulement en février 2026, lorsque la sonde changera son orientation thermique et reviendra à une connexion standard via HGA. Ce n'est pas un « délai par caprice », mais des compromis dictés par la protection thermique et la sécurité de la sonde dans la partie du voyage proche du Soleil. Les scientifiques disposent donc actuellement seulement d'extraits télémétriques limités (par ex. un cadre NavCam partiellement téléchargé), tandis que les séries complètes JANUS/MAJIS/UVS/SWI/PEP arriveront selon un calendrier complexe dans les semaines à venir de 2026.


Mars comme « trépied externe » : mesures automnales pour une trajectoire plus précise


Cette campagne de novembre s'appuie sur des observations depuis l'orbite de Mars menées du 1er au 7 octobre 2025, lorsque Mars Express et l'ExoMars Trace Gas Orbiter (TGO) « chassaient » 3I/ATLAS dans des conditions extrêmement exigeantes de faible luminosité et de grande vitesse. Bien que les images de Mars Express aient eu des temps d'exposition plus courts et une sensibilité plus faible pour des cibles aussi sombres, TGO a réussi à enregistrer la comète et, plus important encore, à fournir des données qui ont réduit d'un facteur dix les incertitudes sur la position et la trajectoire future. Ces corrections d'éphémérides ont été décisives pour « verrouiller » les fenêtres d'observation de Juice sur la bonne position de la comète en novembre, juste quand 3I/ATLAS était dans son état le plus actif après le périhélie.


Que chercheront exactement les instruments de Juice ?



  • JANUS (caméra haute résolution) : on attend des clichés permettant de suivre les changements dans la morphologie de la chevelure et l'orientation des queues au fil des jours. Bien que la distance impose des limites de résolution, l'évolution des luminosités et des « asymétries » de la chevelure révélera la dynamique de l'éjection de matière.

  • MAJIS et UVS (spectroscopie) : visent les lignes diagnostiques de l'eau, du dioxyde de carbone et du monoxyde de carbone, mais aussi des traces d'hydrogène atomique et d'autres produits de dissociation. La comparaison des spectres UV et IR montrera les conditions thermiques et les sources des jets.

  • SWI (submillimétrique) : donne la température et la cinématique des gaz ; peut séparer les composantes d'évaporation « lentes » et « rapides », ce qui est important pour les modèles de sublimation du CO2 et de H2O.

  • PEP (particules et plasma) : mesure les produits ionisés de la comète et l'interaction avec le vent solaire ; on s'attend ici à des signatures de la queue de plasma, des changements de densité et d'énergie des particules ainsi que d'éventuelles discontinuités liées aux changements dans le vent solaire.


En synergie, ces instruments permettent une analyse « du comportement à la composition » : nous voyons comment la chevelure s'étend, ce qu'elle contient, comment les queues se courbent et changent et quelle « empreinte » de plasma laisse l'environnement. Lorsqu'on ajoute à ces données les observations terrestres et héliosphériques (par ex. UV et lumière blanche d'autres missions), on obtient une chronique de l'activité de la comète après le périhélie — jour après jour, au lieu d'un unique « snapshot » statique.


« Anti-queue », queue de plasma et poussière : ce que la géométrie fait à notre œil


La queue d'une comète n'est pas une seule et même chose à tout moment. La queue de plasma de gaz ionisé s'étend presque toujours à l'opposé du Soleil car elle est façonnée par le vent solaire. La queue de poussière — composée de particules de différentes tailles — suit la trajectoire et peut structurellement ressembler à une « anti-queue » lorsque le plan d'observation coïncide avec le plan de l'orbite, donnant l'impression que la queue « pointe » vers le Soleil. Pour 3I/ATLAS après le périhélie, de tels effets de perspective sont justement attendus : une chevelure plus forte due à l'inertie thermique et des changements géométriquement conditionnés dans la répartition de la poussière. Les ensembles de Juice avec plusieurs dates en novembre sont fondés sur l'idée qu'une série de mesures plus courtes saisit mieux cette dynamique qu'une seule longue exposition.


Ce que nous savons sur 3I/ATLAS à ce jour


Des mesures coordonnées depuis Mars et des missions héliosphériques (ainsi que depuis des observatoires terrestres) confirment que 3I/ATLAS se comporte comme une comète naturelle et active. Les signatures ultraviolettes et infrarouges indiquent la présence d'eau et de dioxyde de carbone, et la morphologie de la chevelure et de la queue coïncide avec les attentes pour un corps ayant récemment passé son point le plus proche du Soleil. Bien que des spéculations sur des « anomalies » apparaissent dans l'espace public, le consensus des agences repose sur de multiples mesures indépendantes et analyses photométriques qui correspondent à une origine naturelle. Comparée à 1I/ʻOumuamua et 2I/Borisov, 3I/ATLAS fournit peut-être l'ensemble multi-mission le plus riche à ce jour — et la campagne de Juice en novembre s'intègre dans cette mosaïque internationale.


Pourquoi la lointaine Juice est pourtant « au bon endroit »


Bien que la distance de Juice ait été plus grande que celle qu'avaient les sondes martiennes en octobre, le timing des fenêtres de novembre fait la différence : immédiatement après le périhélie, l'activité de la comète est la plus prononcée. Cela augmente le rapport signal-sur-bruit pour les instruments spectroscopiques et la chance de capturer les changements dans les queues conditionnés par le vent solaire. En d'autres termes, « plus loin, mais plus fort » — et assez longtemps pour comparer jour après jour, ce qui est décisif pour la dynamique des gaz et de la poussière.


Aspect technique : NavCam et « coup d'œil rapide », puis science « en pleine résolution »


La Navigation Camera sur Juice sert principalement à la navigation, mais l'équipe l'a utilisée pour valider rapidement que la comète est dans le cadre et que l'activité est visible. En raison des limitations de la liaison (HGA comme bouclier solaire, transmission via antenne medium-gain), seul un extrait partiel d'un cadre NavCam a été téléchargé depuis la sonde — suffisant pour confirmer « ce qui nous attend » dans les ensembles scientifiques complets. Dans les semaines à venir de 2026, quand la géométrie et les conditions thermiques s'amélioreront, l'envoi systématique de séries complètes de données de JANUS, MAJIS, UVS, SWI et PEP est prévu, avec les calibrations standard et les contrôles de qualité.


Chronologie : où nous en sommes aujourd'hui et ce qui suit


Vu sous la perspective du 05 décembre 2025, la séquence est claire : le périhélie de 3I/ATLAS a eu lieu fin octobre ; les observations martiennes ont duré du 1er au 7 octobre ; Juice a commencé les observations le 2 novembre, et le passage le plus favorable était le 4 novembre à environ 65 millions de kilomètres. L'émission des paquets scientifiques depuis Juice est prévue pour février 2026, après quoi suivront le traitement, la comparaison croisée avec les données d'autres missions et la publication des premiers résultats. De plus, on s'attend à la poursuite des observations terrestres et spatiales de la comète alors que son activité décline et qu'elle continue son voyage vers les parties externes du système.


L'image plus large de la mission : Juice en route vers Jupiter


La mission Juice a été lancée en 2023, et l'entrée dans le système de Jupiter est prévue pour 2031. Après une série d'assistances gravitationnelles et une longue croisière, la sonde finira, par une série de passages rapprochés près d'Europe et Callisto, en orbite autour de Ganymède — la première jamais réalisée autour d'une lune autre que la Terre. Les objectifs scientifiques englobent la géologie glaciaire, les océans souterrains, la plasmosphère et la magnétosphère du système de Jupiter ainsi que l'évaluation des conditions pouvant indiquer une habitabilité potentielle. Novembre 2025 avec 3I/ATLAS est donc une sorte de « fenêtre bonus » — une occasion unique d'essayer les mêmes instruments calibrés pour les lunes glacées sur une comète active et d'enrichir la base de la phénoménologie des substances volatiles dans différents environnements.


Que faut-il attendre des résultats


Lorsque tous les ensembles arriveront et passeront le traitement, la communauté cherchera particulièrement des réponses à quatre groupes de questions :



  1. Inventaire des volatils et thermodynamique : rapports H2O/CO2/CO, températures et vitesses d'expansion de la chevelure, dépendance au temps depuis le périhélie et à la distance héliocentrique.

  2. Morphologie et dynamique des queues : l'orientation de la queue de plasma change-t-elle avec les changements dans le vent solaire ; comment se répartit la poussière et sous quelles conditions l'« anti-queue » est-elle visible.

  3. Interaction particule-plasma : énergie et spectres des ions/électrons, possibilité de détection de discontinuités, relation avec les jets actifs depuis le noyau.

  4. Accélérations non gravitationnelles : à quel point l'éjection de gaz et de poussière « pousse » le noyau ; des corrections d'éphémérides sont-elles nécessaires et les paramètres peuvent-ils s'intégrer de manière stable dans les modèles cométaires standard.


3I/ATLAS est, selon toute apparence, une comète interstellaire naturelle dont nous avons maintenant enfin des observations depuis plusieurs points du Système solaire — depuis Mars, à proximité du Soleil et depuis la perspective d'une sonde en route vers Jupiter. Les observations de Juice de novembre 2025 devraient donc combler les lacunes : relier les spectres et les images avec les évolutions réelles des queues et de la chevelure dans les semaines après le périhélie. C'est le genre de « série temporelle » qui nous a souvent manqué avec les précédents visiteurs interstellaires.


Note de la rédaction : en raison de la fenêtre télémétrique limitée en novembre, une partie du contenu a été validée par un court extrait NavCam qui a servi seulement de confirmation de la présence de la comète et de l'activité visible. Les conclusions scientifiques se baseront sur les paquets complets des instruments JANUS/MAJIS/UVS/SWI/PEP, qui arriveront lorsque la géométrie thermique et le régime de communication de la sonde le permettront.

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Heure de création: 12 heures avant

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