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La consommation modérée de café associée à des télomères plus longs chez les personnes atteintes de troubles mentaux sévères, mais pas à 5 tasses ou plus

Une nouvelle recherche dans le BMJ Mental Health sur la cohorte norvégienne TOP montre une association non linéaire entre le café et la longueur des télomères chez les personnes atteintes de troubles mentaux sévères : 3 à 4 tasses par jour sont associées à des télomères plus longs (environ cinq ans d'avantage biologique), tandis que l'effet se perd avec une consommation très élevée. Les données sont observationnelles et nécessitent une confirmation.

La consommation modérée de café associée à des télomères plus longs chez les personnes atteintes de troubles mentaux sévères, mais pas à 5 tasses ou plus
Photo by: Domagoj Skledar - illustration/ arhiva (vlastita)

Une nouvelle analyse publiée en libre accès dans la revue BMJ Mental Health présente des résultats intrigants sur l'association entre la consommation quotidienne de café et le vieillissement biologique chez les personnes souffrant de troubles mentaux sévères. Au cœur de la recherche se trouve la longueur des télomères – des « capuchons » protecteurs aux extrémités des chromosomes – qui est souvent utilisée comme marqueur de substitution du vieillissement cellulaire. Les personnes atteintes de schizophrénie, de psychose et de troubles bipolaires ont, selon des travaux antérieurs, des télomères plus courts en moyenne que la population générale, ce qui indique un vieillissement biologique accéléré. Les auteurs de la nouvelle étude rapportent qu'une consommation modérée de café (environ 3 à 4 tasses par jour) est corrélée à des télomères plus longs par rapport aux personnes qui ne boivent pas de café, tandis que ce schéma n'est pas observé avec une consommation très élevée (5 tasses ou plus par jour). Bien qu'il s'agisse de données observationnelles, le message est important pour la pratique quotidienne : maintenir une consommation dans une fourchette modérée peut aller de pair avec la préservation de la santé cellulaire dans une population qui porte souvent le fardeau du stress métabolique et oxydatif.


Pourquoi les télomères sont importants pour comprendre la santé mentale


Les télomères protègent le matériel génétique des dommages lors de chaque division cellulaire. Ils raccourcissent naturellement avec l'âge, mais des facteurs environnementaux tels que le stress chronique, le tabagisme, l'inflammation et la pression oxydative agissent également sur eux. Ce sont précisément les circonstances de vie stressantes, les comorbidités métaboliques, les taux de tabagisme plus élevés et certains effets secondaires des thérapies qui sont plus fréquents dans la population souffrant de troubles mentaux sévères. Il n'est donc pas surprenant que l'on trouve en moyenne des télomères plus courts dans ce groupe. La question clé est de savoir si les habitudes de vie – alimentation, sommeil, mouvement et consommation de boissons – peuvent moduler cette trajectoire biologique. Le café occupe ici une place particulière car il associe la caféine (un stimulant aux effets hémodynamiques potentiels) et une large gamme de polyphénols aux propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires.


Café, antioxydants et vieillissement biologique


Le café est l'une des boissons les plus consommées au monde et une source de nombreux composés bioactifs : polyphénols, acides chlorogéniques et caféine. Alors que la caféine à fortes doses peut augmenter la tension artérielle ou perturber le sommeil, les antioxydants du café peuvent neutraliser les radicaux libres et réduire les phénomènes inflammatoires. Les scientifiques s'intéressent donc depuis longtemps au lien potentiel entre les habitudes de consommation de café et les biomarqueurs du vieillissement. La nouvelle étude s'est concentrée précisément sur ce point : existe-t-il un lien quantitatif entre le nombre de tasses de café et la longueur des télomères chez les sujets ayant des diagnostics du spectre des troubles mentaux sévères.


Comment l'étude a été conçue


L'équipe de recherche a analysé les données recueillies dans le cadre de la cohorte norvégienne TOP (Thematically Organised Psychosis). L'échantillon comprenait 436 adultes, dont 259 atteints de schizophrénie et 177 de troubles affectifs (trouble bipolaire et épisodes dépressifs sévères avec psychose). Les participants ont auto-déclaré leur consommation quotidienne de café et ont été classés en quatre groupes selon cela : ne boivent pas de café ; boivent 1 à 2 tasses ; boivent 3 à 4 tasses ; boivent 5 tasses ou plus par jour. Les habitudes tabagiques ont également été enregistrées (environ les trois quarts de l'échantillon étaient fumeurs, avec une durée moyenne de tabagisme de près d'une décennie). La longueur des télomères a été mesurée dans les leucocytes à partir d'échantillons sanguins par des procédures de laboratoire standardisées. Important : la conception est observationnelle, sans intervention ni répartition aléatoire, on parle donc d'association, et non de causalité.


Principales conclusions : une courbe en forme de « J »


Les résultats ont montré un modèle non linéaire clair. Par rapport aux personnes qui ne boivent pas de café, le groupe consommant 3 à 4 tasses par jour avait des télomères statistiquement significativement plus longs. L'estimation de l'âge biologique suggère que ce profil est approximativement équivalent à un statut biologique « plus jeune » d'environ cinq ans par rapport aux non-consommateurs. À l'inverse, aucun effet favorable n'a été observé chez les personnes buvant 5 tasses ou plus par jour ; les auteurs avertissent qu'une consommation très élevée peut stimuler la création d'espèces réactives de l'oxygène et ainsi neutraliser les bénéfices antioxydants potentiels du café. Il a également été noté que les personnes diagnostiquées avec une schizophrénie buvaient en moyenne plus de café que les participants souffrant de troubles affectifs, ce qui souligne davantage la nécessité d'une interprétation individualisée des données.


Combien est « modéré » : ce que dit la pratique de santé publique


Les lignes directrices de divers organismes de santé convergent vers un seuil d'environ 400 mg de caféine par jour comme étant généralement sûr pour la plupart des adultes en bonne santé, ce qui correspond grosso modo à 3 à 4 tasses standard de café filtre. Cette limite apparaît également comme le « point idéal » dans les résultats de l'étude : c'est précisément dans cette fourchette que l'on observe une plus grande longueur des télomères. Il faut cependant garder à l'esprit que la teneur en caféine varie considérablement selon les boissons (espresso, café turc, instantané, « cold brew »), les méthodes de préparation et la taille des portions. De plus, la sensibilité à la caféine diffère individuellement, et il existe des populations pour lesquelles des limites plus strictes s'appliquent (par ex. grossesse, certains diagnostics cardiaques, troubles anxieux et du sommeil). En règle générale, il est utile de surveiller son propre sommeil, son pouls et l'apparition de symptômes désagréables (tremblements, palpitations) et d'adapter sa consommation.


Ce que cela signifie pour les cliniciens et la communication en santé publique


Pour les médecins et les professionnels de la santé mentale, le message pratique est prudemment optimiste. La consommation modérée de café peut être incluse dans la conversation sur les habitudes de vie avec les patients atteints de schizophrénie, de psychose ou de troubles bipolaires, surtout s'il y a un intérêt pour des stratégies qui soutiennent la santé globale et un vieillissement « plus sain ». À cet égard, il faut évaluer les interactions avec la thérapie, les habitudes tabagiques, la qualité du sommeil et la routine quotidienne. Le café n'est pas un substitut au traitement pharmacologique, à la psychothérapie ou aux changements de comportement, mais il peut être envisagé comme faisant partie d'un régime équilibré, associé à la promotion de l'activité physique, d'une alimentation de qualité et du soutien à l'arrêt du tabac.


Limites et prudence dans l'interprétation


Il s'agit d'une étude observationnelle, nous ne pouvons donc pas parler de relation de cause à effet. Il est possible que les personnes qui boivent des quantités modérées de café aient aussi d'autres habitudes qui favorisent des télomères plus longs (meilleure alimentation, plus de mouvement, rythme de sommeil plus régulier). Les auteurs ont également mentionné des limites méthodologiques : il n'existait pas de données détaillées sur le type de café, la méthode de préparation, la concentration précise de caféine ni sur la consommation d'autres boissons caféinées. La proportion de fumeurs était très élevée, ce qui peut agir comme un facteur de confusion étant donné le métabolisme plus rapide de la caféine chez les fumeurs et les effets indépendants du tabagisme sur le stress oxydatif. Enfin, la mesure des télomères dans les leucocytes reflète une image systémique, mais les télomères diffèrent entre les tissus et ne sont pas le seul indicateur de l'âge biologique.


Lien avec les connaissances antérieures sur le café


La littérature sur le café et la santé est devenue de plus en plus volumineuse ces dernières années. Plusieurs revues et études de population trouvent des associations favorables d'une consommation modérée de café avec la mortalité et une série de maladies chroniques, en mettant l'accent sur les différences individuelles et les limites supérieures de sécurité. Pour le système cardiovasculaire, la règle de la mesure s'applique : alors que des quantités modérées ne sont pas associées à une augmentation permanente de la tension artérielle chez la plupart des consommateurs habituels, une consommation excessive peut provoquer des palpitations, de l'insomnie et une augmentation à court terme de la tension. Dans le contexte de la santé mentale, la découverte de télomères plus longs avec une consommation modérée s'inscrit dans l'idée que les modèles alimentaires et de vie qui réduisent l'inflammation et le stress oxydatif peuvent être un soutien au traitement global.


Ce que les patients peuvent faire concrètement



  • Maintenir la consommation dans une fourchette allant jusqu'à quatre tasses standard par jour, sauf si un médecin recommande des limites plus strictes.

  • Préférer le café filtre au café non filtré afin de réduire l'apport d'ingrédients qui agissent défavorablement sur les lipides sanguins.

  • Éviter la consommation tardive de caféine (après-midi et soir) s'il y a un problème d'insomnie ou de rythme de sommeil perturbé.

  • Faire attention au sucre et aux calories ajoutées dans les boissons spéciales ; les boissons « énergisantes » et les additifs peuvent contenir des doses très élevées de caféine et de sucre.

  • Harmoniser les habitudes avec la thérapie et les conseils d'experts, en particulier dans les conditions cardiovasculaires, la grossesse ou l'allaitement.


À qui ces résultats importent le plus


Les résultats sont particulièrement pertinents pour les personnes chez qui il existe un risque de vieillissement biologique accéléré ou chez qui une longueur de télomères plus courte a déjà été enregistrée auparavant. Les populations souffrant de troubles mentaux sévères sont souvent confrontées à une accumulation de facteurs de risque : tabagisme, mode de vie sédentaire, syndrome métabolique, effets indésirables des antipsychotiques sur la masse corporelle et le métabolisme du glucose. L'ajustement des habitudes de vie de manière à soutenir l'équilibre antioxydant – y compris une consommation modérée de café – pourrait, au moins partiellement, atténuer les conséquences biologiques de ces charges. Bien entendu, les décisions doivent être prises individuellement et en accord avec un médecin.


Brève note méthodologique


L'utilisation de la longueur des télomères à partir de leucocytes comme mesure du vieillissement présente des avantages et des inconvénients. L'avantage est qu'il s'agit d'un biomarqueur non invasif qui reflète bien l'exposition cumulative au stress oxydatif et à l'inflammation. L'inconvénient est la variabilité entre les tissus et le fait que les télomères ne représentent pas le seul ni nécessairement le meilleur indicateur de l'âge biologique. De plus, la méthode de mesure (qPCR par rapport aux techniques alternatives) et la standardisation en laboratoire peuvent affecter la comparabilité entre les études. Par conséquent, ces résultats doivent être interprétés comme une pièce importante du puzzle, mais pas comme le dernier mot sur la relation entre le café et l'âge biologique.


Ce qui suit dans la recherche


Les auteurs appellent à des recherches longitudinales qui suivraient les changements de longueur des télomères au fil du temps par rapport à une consommation précisément quantifiée de café et d'autres boissons caféinées, tout en enregistrant les habitudes alimentaires, la qualité du sommeil et le niveau d'activité physique. Des essais interventionnels – par exemple des essais contrôlés randomisés avec une consommation de café définie et une mesure standardisée des biomarqueurs – pourraient clarifier davantage la causalité. Il est également utile d'étudier les différences entre le café caféiné et décaféiné et entre les différentes méthodes de préparation (filtre, espresso, « cold brew »), ainsi que les variantes génétiques du métabolisme de la caféine qui peuvent façonner la réponse individuelle.


Contexte plus large : du laboratoire à la tasse quotidienne


Bien que le public cherche souvent des règles simples, la science de la nutrition et des boissons offre rarement des équations valables pour tous. La génétique du métabolisme de la caféine, le microbiome intestinal, les différences dans la méthode de préparation du café et les modèles culturels rendent chaque recommandation approximative. Néanmoins, la cohérence des résultats selon lesquels une consommation modérée (3 à 4 tasses) est associée à des résultats favorables – du profil cardiovasculaire à, maintenant, la longueur des télomères dans une population vulnérable – donne une base raisonnable pour des conseils pratiques. Le message est simple, mais pas banal : garder la mesure, observer ses propres réactions et intégrer le café dans un cadre plus large de routine saine. Pour certains, cela signifiera aussi réduire la consommation ou passer à une variante décaféinée si des effets secondaires apparaissent.


Note sur la date et l'interprétation des termes relatifs


Ce texte a été préparé le 06 décembre 2025, et les termes relatifs tels que « aujourd'hui » ou « récemment » sont alignés sur cette date. Compte tenu de l'afflux rapide de nouvelles publications, il est recommandé de vérifier occasionnellement les mises à jour des directives et les dernières revues systématiques, en particulier si vous prenez des décisions concernant la santé personnelle ou la pratique clinique.


Informations supplémentaires pour les éditeurs et les communicateurs


Pour les portails traitant de sujets de santé publique et de santé mentale, il est crucial de cadrer ces résultats sans sensationnalisme. Il est recommandé de souligner qu'il s'agit de données observationnelles sur une cohorte clinique spécifique et que des confirmations dans d'autres populations et conceptions sont nécessaires. Parallèlement, il faut indiquer de manière transparente la limite d'environ 400 mg de caféine par jour comme repère conservateur pour la plupart des adultes, avec la note que la tolérance individuelle et les comorbidités peuvent nécessiter des limites plus strictes. Il est particulièrement important de communiquer les risques potentiels de l'excès : insomnie, anxiété, palpitations, hypertension artérielle et interactions médicamenteuses.


Ce que ceci n'est pas


Les résultats ne suggèrent pas que les personnes souffrant de troubles mentaux sévères devraient « augmenter la dose » de café sans restriction ou que le café est une thérapie pour les diagnostics psychiatriques. Il n'est pas recommandé d'arrêter ou de modifier le traitement prescrit de son propre chef. Le message est équilibré : maintenir la consommation dans une fourchette modérée, avec un accent général sur un mode de vie sain et la coopération avec un médecin, est raisonnable et potentiellement bénéfique.


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